Il vous est difficile de laisser une place à celui qui vous estime, vous respecte, vous espère.
A celui qui a plusieurs fois pris le risque d'un soufflet, par vous, pour vous.
A celui, et vous abdiquez pour l'admettre, qui a réussi au moins aussi bien que vous à ne pas être le produit d'un déterminisme ordinaire.
A celui qui a le génie souvent discret, et l'imperfection bruyante. A celui qui cultive son jardin et l'arrose sans modération. A celui que vous imaginez parfois vieillir a vos côtés quand il se prête aussi bien à vos pitreries.
Il vous est difficile d'admettre que ce que vous cherchiez vous a trouvé.
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