20 août 2008

What a nice day for murder

Retour at the office.

De nouveau, les hallucinations dans le métro, ce bon vieux monologue, les phrases qui riment avec vie de con. L'éternel refrain sur l'absence de beauté de tous ces corps assoiffés de journaux gratuits - de ponctualité - d'attentifs ensemble. L'ennui profond qui transpire dans le bruit de la vitesse. Inspiration hautement nauséabonde pour toute forme de sensibilité.

Puis le collègue - sublime tant il est minable - qui entreprend de faire son
Comment-ça-va Show sur fond de vacances racistes. Puis le reste de la journée comme un roman de Houellebecq - au ralenti et pendant 8 heures... J'ose un "je crois que je vais mourir" à la pause café, je n'obtiens pas de réaction. J'ajoute un "je me demande si je ne suis pas déjà morte" juste pour les scandaliser.

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